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JENK – LAURENCE JENKELL

JENK – LAURENCE JENKELL

Laurence JENKELL  « JENK » Chevalier des Arts et des Lettres, est née en 1965 à BOURGES.

Délaissant rapidement l’académisme de ses premières œuvres, Laurence JENKELL s’épanouira dans un style plus contemporain aux couleurs et matières excessives. A la toile traditionnelle succède le plexiglas, les résines et l’aluminium, matières contemporaines, en harmonie avec l’environnement urbain qui inspire son art.

Métamorphose de la substance

Séduite par l’alchimie du sucre et les multiples combinaisons du BONBON, tant dans sa forme que dans ses possibilités de transformation, L. JENKELL décline la métamorphose de la substance, pour n’en garder que l’idée du sucre qui fond sur la toile.

Ses recherches s’inscrivent dans une déclinaison de créations aux couleurs acidulées, aux textures gourmandes et aux parfums sucrés. D’un simple coup d’œil, le spectateur se sent transporté par ce travail très personnel. Ses sens s’éveillent, son odorat, son goût, son toucher et ses souvenirs d’enfance ressurgissent, l’attirant tel une abeille par le miel.

L’objet se transforme en plaisir

L’œuvre de JENKELL est un phénomène de cristallisation à part entière, lente ascension vers l’étape ultime : le désir matérialisé dans l’objet. Le BONBON participe à la fois de cet instant subtil où l’objet se transforme en plaisir. La gourmandise devient ainsi sublimée, soit par une fonte d’aluminium au sable, soit par un emballage en altuglas qui donne toute sa dynamique à l’œuvre de JENKELL.

L’objet sublimé par l’objet : nouveau procédé élaboré par l’artiste visant à magnifier l’objet par une technique de drapé et de torsion du altuglas dans le pur esprit des emballages de friandises.

Un discours spécialiste dirait que sa sculpture bonbon est un geste radical issu du contenu sémantique du Pop Art et du Nouveau Réalisme. Un discours profane parlerait d’une gourmandise artistique qui délecte nos sens et qui par sa douceur évoquée permet de magnifier l’ensemble des sujets portés par ces bonbons.

Exposée dans le monde entier, Laurence Jenk Jenkell s’inspire maintenant d’un univers plus architectural. Le robot est un de ses nouveaux thèmes.

Le travail de Laurence Jenkell est représenté par de nombreuses galeries et collections privées, publiques et institutionnelles. Ses œuvres font partie des collections de François Pinault, Martin Bouygues, Françoise Bettencourt, les fondations (Fondation Datris, KNEIP, Chanel, Cristobal Gabarron, etc.) et musées tels que le musée des beaux-arts de Calais, le musée des Miniatures à Amsterdam, le Copelouzos Family Art Museum à Athènes.

G20 à Cannes

En 2011, Laurence Jenkell à l’occasion du G20 à Cannes, invente un concept d’expositions itinérantes de ses Bonbons géants aux couleurs des Drapeaux.

Elle expose 55 sculptures Bonbons, versions monumentales et Drapeaux alliant diversité des matières et haute technicité, pendant cinq mois, à Cannes sur la Croisette. Une haie d’honneur de ses sculptures Bonbons Drapeaux accueille les présidents pour le sommet du G20 à Cannes.

En 2012, Laurence Jenkell expose ses sculptures au Club France au Village Olympique lors des Jeux olympiques de Londres.

Elle expose ses sculptures bonbons géants avec la Fondation Gabarron à Valence (Espagne) et aussi dans la ville de Calais ainsi qu’au musée des beaux-arts de Calais, et à la Gallery Artam Global Art.

RUBINSTEIN

RUBINSTEIN

Patrick RUBINSTEIN – KINETIC POP ART

Né en 1960 à Paris, Patrick Rubinstein est un artiste contemporain Français issu de l univers de la mode travaillant ses tableaux sur un concept d OPT ART, (Art Cinétique).

Grace à une technique innovante ses œuvres vous offres 3 vues différentes selon votre angle de vision vous procurant ainsi 3 fois plus d émotions.

Vous aimeriez retrouver les idoles de votre jeunesse ?… Patrick Rubinstein les met en scène pour vous en les associant par un jeu d’optique unique, à une autre image. Pour Michael Jackson ? Un graphe de « Beat It » en clin d’œil à son tube planétaire de 1982. Pour les Beatles ? L’Union Jack.

Pour les quatre géants des fifties, Spiderman, Betty Boop, Super Man et Marilyn ?… Les mêmes mais en couleurs ou en noir et blanc, selon l’angle de vue…

On est dans le pop et street art, la création ludique, dynamique et généreuse. Mais aussi dans l’op art, l’art optique qui se joue de tout et surtout de nous, pour notre grand plaisir.

Ses débuts :

Tout commence alors que Patrick Rubinstein est encore ado. Il aime l’art, la photo argentique et le cinétisme. Que choisir entre les trois ? Rien – c’est à dire tout.

Il coupe en lamelle une photo, l’intercale avec une autre, puis colle l’image recomposée sur un support, tente un pliage en accordéon et obtient une œuvre en relief. De face, l’image est double, les deux photos se superposent, mais vue de perspective, l’effet est bluffant. Selon l’angle, il n’apparait qu’une seule des deux images. Son concept en 3 D est né.

Ses premières créations sont réalisées à partir de portraits de ses proches. Une mère et son fils, un frère et sa sœur, un père et sa fille… Rapidement, son jeu visuel remporte un franc succès bien au-delà de son entourage. Il doit continuer – le tout est de savoir comment ?! Sa technique est encore trop artisanale pour supporter des créations plus sophistiquées, a fortiori en dimension XXL.

 

A découvrir en ligne : Le Catalogue Interactif des œuvres de  Patrick Rubinstein