ARCACHON - LE PYLA - CAP FERRET - MEGEVE - COURCHEVEL - SAINT TROPEZ - BIARRITZ

LIRONE

LIRONE

Lirone est un photographe plasticien français né en 1964. Adolescent, il s’intéresse à la photographie et se découvre une véritable passion pour cet art.

L’intégralité des œuvres de Lirone sont façonnées selon des procédés manuels et artisanaux.

La technique de travail utilisée veut que l’ensemble de ses œuvres soient élaborées à partir d’un bloc de multiples matières dans lesquelles un travail unique est opéré afin de donner naissance à une œuvre unique.

Depuis 1990, il exerce la photographie en tant que professionnel et guidé par sa passion de l’image il est perpétuellement en quête de techniques de photographie innovantes.

En 1994, Lirone débute sa carrière en se spécialisant dans le portrait avec une… attirance toute particulière pour les portraits de bébés et enfants.

A la fin des années 90, il étend son savoir-faire au monde de la photographie industrielle en France puis dans le reste du monde (USA, Grande Bretagne, Suisse…). Il s’attaque alors à l’industrie automobile, à la Mode, à l’art culinaire, à la joaillerie…

En 2006, il est le créateur d’un concept totalement novateur qui combine de façon esthétique et originale photographie, peinture et sculpture.

Ce concept repose sur un procédé de visualisation directe d’une image en 3 dimensions.

Ce procédé fait l’objet d’un brevet enregistré à l’INPI pour une couverture internationale depuis Août 2006.

« Je propose une renouvellement de l’exercice qu’est voir. Ajustez votre position : elles ne cessent de se recomposer sous votre regard.

Déplacez-vous : le motif se décompose, mais se conserve. Revenez face à l’œuvre. Le regard retrouve les profondeurs inouïes du cristal… »

GUILLERM

GUILLERM

Né à Paris en 1959, Philippe Guillerm a commencé à travailler dans le design dès son plus jeune âge et l’environnement local a eu une influence énorme et durable sur ses dessins lui conférant des formes contemporaines qu’il continue à utiliser aujourd’hui sur ses œuvres à deux et trois dimensions. L’artiste est allé à l’école pour l’ingénierie, en suivant la vocation de son père. Mais il a grandi entouré d’art, et son entraînement, aidant son père à fabriquer des meubles et des bateaux, l’a préparé à composer.

La famille de Philippe Guillerm est originaire de Bretagne, ou «Terre de la mer», où les gens travaillaient traditionnellement comme marins ou pêcheurs. Avec son héritage et sa vie d’été en train de naviguer derrière lui, l’adolescent Guillerm a quitté la France pour l’Espagne et le Maroc. Ses voyages ont finalement conduit à la Guyane française, où il a rencontré femme et bois, Philippe Guillerm a trouvé la beauté de chacun indéniable, et il est parti pour Tahiti deux ans plus tard en tant que mari et sculpteur. L’art et la musique sont des langues plus directes que les paroles ou écrites, et les sculptures et peintures de Philippe chantent.

EXHIBITIONS
1990 Tahiti Cultural Space – Papeete
1992 Naval Center of Numea – New Caledonia
1994 Victoria Yacht Club – Vitoria Brazil
1996 Caioba Yacht Club – Caioba Brazil
Club Berisso – La Plata Argentina
Art Temple – Buenos Aire Argentina
1997 Vito Dumas Yacht Club – Necochea Argentina
Casa Del Imigrante – Necochea Argentina
Armada Argentina Country Club – Buenos Aires
Passeo Norte Art Center – Tandil Argentina
French Alliance – Curitiba Brazil
1998 Art Vue Gallery – Merritt Island Florida
Florida Tech Library – Florida
1999 Orlando Museum of Art – Florida
2000 Melbourne International Airport
Melbourne Convention Center
Ft. Lauderdale International Boat Show
2001 Artserve Gallery – Florida
Boca Museum Artist Guild – Florida
Montgomery Armory Art Center – Florida
Lewis Gallery – Miami Florida
Schacnow Museum of Art – Florida
2002 Exhibit Gallery – Boca Raton
Artserve Main Library – Florida
Casual Environs DCOTA – Florida
Windsor Gallery DCOTA – Florida
ArtistHouse – Florida
Ft. Lauderdale Museum of Art – Florida
California Museum of Art – California
Beaux Art – Coral Gables – Florida
De Graff Gallery – West Palm Beach
2003 Florida Philharmonic – Ft. Lauderdale, FL.
Y-ME National Breast Cancer Organization – Chicago IL.
2004 Broadway Gallery – Oakland, FL.
Boca Raton Museum of Art – Boca Raton, FL.
Creatrics Contemporary Gallery – Easton, Meryland
Broward Care For Kids -Ft. Lauderdale, FL.
American Craft Council Show – Atlanta, GA.
Seldom Sean – Ft. Lauderdale, FL.
2005 Artexpo New York – NY
Ars Flores Symphony Orchestra – Ft. Lauderdale, FL.
Art du nu Le Salon – France
Skylight Art Gallery and Jewelers – Boston, MA
2006 High Notes Gallery – Burlington, Canada
Carver Hill Gallery – Rockport, ME
2007 Palm Springs Art Museum – Palm Springs, CA
Symposium Des Arts – Drummondville, QB.
San Diego Art Institute Museum of the Living Artist – San Diego, CA.
Art for Sail – Atlantic Challenge School – Rockland, ME.
2008 Mary Martin Gallery – Charleston, SC.
Veil Gallery – Veil, CO.
The Kessler Collection – Orlando, FL.
Drummondville Gallery – Drummondville, QC.
Le Balcon D’Art – Monreal, QC.
artKudo 4th International Juried Art Exhibition and Competition.
2011 Elementos Art Gallery – Dominican Republic
2012 Open his own studio/gallery – Philippe Guillerm Gallery , Waldoboro, ME
2014 Kessler Collection – Grand Bohemian Hotel Savannah, GA
Kessler Collection – Grand Bohemian Hotel St. Augustine, FL
Kessler Collection – Grand Bohemian Hotel Orlando, FL
Kessler Collection – Grand Bohemian Hotel Ashville
Kessler Collection – Grand Bohemian Hotel Taos
2017 Gallerie Saint Martin – France

CHINIKOV

CHINIKOV

Stephan Chinikov

Né en 1969, Stephan Chinikov a grandi dans la ville de Sofia, où son talent pour la peinture se manifeste dès le plus jeune âge. Etudiant au Lycée des Beaux Arts de Sofia entre 1984 et 1988, il sera diplômé de l’Académie Nationale des Beaux Arts en 1994. Très vite il comprend que le style académique ne lui tient pas vraiment à cœur et il s’y en distingue, plongeant ainsi dans un univers beaucoup plus libre et expressif.

Dans ses créations, Chinikov suit les riches traditions de l’art européen tout en développant une touche personnelle facilement reconnaissable par ses formes et couleurs. Ses œuvres sont l’expression d’une véritable sensualité slave, portée par les origines de l’artiste, dont les thèmes prépondérants sont les éternels amour et bonheur. « L’amour est la fibre de la vie.» dit Chinikov dont l’âme slave est alimentée par de vraies émotions et des sentiments forts qu’il exprime et traduit dans son travail. Ses sources d’inspiration sont la vie, la femme et la musique.

Doté d’une vraie liberté d’expression et d’une imagination sans limite, l’artiste joue constamment avec les visages et les corps dans le but de déstructurer les formes habituelles et de les recréer de manière inédite dans son univers imaginaire et unique. Il s’amuse à construire ses tableaux à partir de taches de couleurs, de collages et de formes abstraites, se laissant porter par l’improvisation et le moment spontané. L’artiste lui-même qualifie ses œuvres comme un entremêlement d’émotions et de couleurs. Ce mélange est souvent renforcé par des mots ou des phrases qui emmènent le spectateur dans la direction souhaitée.

Rempli d’une énergie positive hors pair, les peintures et les sculptures de Chinikov  impressionnent par leur délicate lumière, envoutent par leurs vives couleurs et bouleversent par leur inspirant enthousiasme.

Chinikov compte à son actif plus de 30 expositions individuelles et de nombreuses participations dans des expositions en Europe, en Amérique du Nord et en Asie. Ses œuvres figurent dans de prestigieuses collections privées d’amateurs d’art du monde entier.

JOHANNE 8

JOHANNE 8

JOHANNE 8

Un nom qui résonne comme un porte bonheur quand on connait le sens symbolique du chiffre rattaché au prénom de cette jeune artiste. Après une carrière dans l’aéronautique, c’est vers sa passion de toujours qu’elle décide de revenir.

Née à Lyon en 1974, Johanne 8 vit et crée aujourd’hui à Paris. Artiste confirmée de l’Art contemporain, elle expose ses peintures et ses sculptures depuis 2008 dans des galeries reconnues. Ses œuvre sont exposées de Melbourne à Barcelone, en passant par Lausanne ou Genève, ainsi qu’en France : Paris, Deauville, Megève, Courchevel, Arcachon,  ou encore Saint-Tropez…

Elle a su aussi investir des lieux prestigieux tels Le Grand Palais de Lille pour Lille Art-Up ou L’Urban Art-Fair à Paris.

Johanne 8 imagine dans son atelier des tableaux lumineux et colorés qui racontent tous une histoire. Son histoire !!!…

C’est ainsi que l’artiste se définit aujourd’hui comme une héritière du Bad Painting, un mouvement de graffeurs américains. Elle rejoint le jeune mouvement artistique du « Street Pop » qu’elle partage avec d’autres artistes comme Benjamin Spark, jeune et talentueux artiste belge.

Observée et choisie par les grands noms de la mode Paul&Joe, Karl Lagerfeld (Chanel) et Olivier Rousteing (Balmain) ; et de la gastronomie française, la chef triplement étoilée Anne Sophie Pic, Johanne 8 poursuit son chemin et ne cesse de se renouveler.

Lorsque Johanne 8 revient s’installer à Paris, c’est pour se consacrer pleinement à ses premiers amours : elle écrit des scénarii destinés au cinéma et à la télévision. Parallèlement, elle reprend les pinceaux et expose des toiles où la diversité des techniques employées va de pair avec la pluralité et le foisonnement des codes visuels.

Volontairement Johanne 8 fait s’entrechoquer les images, mêlées de mots, dans le but de transcrire son bouillonnement intérieur et la variété de ses référents artistiques et culturels. Elle permet au spectateur de s’interroger sur sa propre mosaïque culturelle, sur ce qui constitue aujourd’hui nos identités métissées.

Elle vient notamment de mettre au point une nouvelle technique, afin de donner un relief supplémentaire dans ses créations, en s’inspirant des marques de sucrerie qu’elle aime apposer sur les toiles (Milky Way, Bounty, Galak, Mars…).

Ce qui n’est pas sans rappeler que l’artiste a grandi dans les années 80 et, est pleinement imprégnée de cette culture.

Dans ses toiles vous trouverez sans doute des références à ceux qui l’ont toujours inspirée, Basquiat, Warhol, Lichstenstein, Erro ou encore Julio Le Parc.

Son univers c’est aussi le Pulp, les comics des années 50, ainsi que l’actualité internationale et les grands thèmes de société.

Quant au 8 accolé à son prénom, il est le chiffre du jour de naissance de son fils Mattia,

LAGASSE

LAGASSE

Karl LAGASSE est né à Paris le 4 avril 1981, dans une famille d’artistes.

Adolescent, il rencontre l’artiste César, qui l’encourage à continuer son travail de collages. C’est à la même époque qu’il descend dans le métro exécuter des tags avec son frère adoptif, membre des Black Dragons.

L’urbain ne le quittera alors plus. Le découpage-collage devient une vraie passion pour lui. C’est lors de sa rencontre avec l’artiste Yvaral Vasarely, qui lui suggère d’associer ses collages et ses tags, qu’il prépare sa première exposition à Paris.

De ces tags et collages, il ira vers la peinture et la photographie. Il vend sa première toile à l’âge de 15 ans à Anvers.

Il obtient son premier article dans le magazine Paris-Match. Ensuite il retourne à Paris où il réalise sa seconde exposition personnelle de toiles buildings, collages et photos, à l’espace Cardin.

Aujourd’hui Karl Lagasse est photographe, peintre, vidéaste mais aussi sculpteur. Il expose en Europe, aux Etats-Unis et bientôt en Inde.

Le Dollar est aussi un symbole puissant de son admiration pour les Etats-Unis avec cette phrase qui l’orne: In God We Trust. Le même billet, série 1995, l’année où le dollar était à son plus haut taux, se décline dans des couleurs vives et des tailles différentes. Ces billets, contrairement à ce qu’on peut imaginer, ne se sont pas figés, ils se tordent et ondulent offrant des œuvres en mouvement.

Un article dans Art Price le classe dans les 10 meilleurs artistes de moins de 30 ans.

Ensuite, il expose à Saint-Germain-des-Prés, sur le thème du dollar “In God We Trust”.

Une publication à New York dans le livre “For with In stand” le classe les 50 meilleurs artistes travaillant sur le thème américain. Il part pour New York pour effectuer des signatures.

De retour en Normandie, il crée l’œuvre Cryptogram One en feuilles d’or et l’expose au salon Art Monaco 2011.