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BOUCHEIX

BOUCHEIX

François Boucheix est né le 7 janvier 1940 à Montcheneix, petit village aux pieds des Monts d’Auvergne. Il commence à dessiner très jeune. Orphelin de père à 15 ans, il doit apprendre un métier différent de ses aspirations artistiques. Malgrè le travail intense de la journée, il occupe le soir et une partie de ses nuits à peindre, ainsi que ses jours de liberté.

A 17 ans, surveillant chez les maristes à Riom, il a comme voisin de chambre le peintre Jean de Rocca Serra, prix de Rome et ancien professeur à l’école des Beaux Arts de Florence, qui lui apprend la peinture pendant un an.

Il fit sa première exposition en février 1960 en Tunisie, puis en province notamment en Auvergne et dans le sud de la France. Quatre années passées à Chamonix, où il lit une annonce dans un journal national, la galerie de Sèvres cherche des peintres. Il répond à l’annonce en envoyant des photographies, et quelques temps après il apprend qu’il est retenu.

Il se manifeste à Paris en 1963 lors d’une grande exposition à la Galerie de Sèvres ou il rencontre Bernard Bellaïche. De 1966 à 1972 il expose régulièrement dans cette galerie notamment avec Lebasque, Othon Friez, Dignimont, Crau Salaboudet, Madeleine Luka, Marie Laurencin et les peintures de Foujita et Salvador Dali.

François Boucheix offre une vision surréaliste du monde par la totale liberté de sa richesse inventive et un don d’émerveillement que garde intact sa fidélité à ses racines et à sa terre d’Auvergne.[non neutre]

Avec Bernard Bellaïche il rencontre Salvador Dali et, ce jour là tout a changé. Dali lui dira « votre peinture est bonne … d’ailleurs elle plait à Gala. »

C’est à la suite d’une célèbre exposition à la galerie de Sèvres à Paris de “Dali à Boucheix” avec les peintures de Meissonnier qu’il décide qu’il sera un peintre surréaliste de rêve et de bonheur et non un surréaliste triste.

Musée François Boucheix 

CINTRACT

CINTRACT

David Cintract est né en 1970.

A mi-chemin entre Warhol et Lichtenstein, l’artiste projette sa vision de la société de consommation sur tous supports: toiles, poupées ou mannequins de vitrine.

Tout en rendant hommage aux grands artistes Pop, David Cintract a su se démarquer grâce à sa forte personnalité en devenant une figure incontournable du mouvement dont il est le fondateur : “Le Pop Libre”.

David Cintract a une fascination pour la sculpture exubérante et le stockage des œuvres façon « caverne d’Ali Baba ».

S’inspirant de l’actualité et des sujets de société, son œuvre porte en elle toute l’ambiguïté d’un univers artistique décalé et enfantin, à l’optimisme teinté de tragédie.

Gaieté des couleurs et motifs, pétillance et joie communicative, mais aussi profondeur des questionnements et symboles, telle est la marque de fabrique de David Cintract qui refuse la facilité et pose de discrètes correspondances entre des forces très poétiques et des pulsions plus sombres.

Au moyen de techniques aussi diverses que l’huile, la photo, l’inclusion ou la digigraphie, il développe sur tous supports (toiles, mannequins, voitures …) plusieurs thématiques au cœur de notre société postmoderne :

-L’homme face à une consommation effrénée et frivole
-La place des fantasmes et jeux érotiques adultes
-La perte de notre part d’enfance dans une société qui ne croit plus aux rêves

David Cintract expose à travers le monde, et, grâce à son langage artistique universel, nourrit des échanges profonds avec des publics issus de toutes les origines et de toutes les cultures.

Interview de DAVID CINTRACT par Mr LIVE :

« Mon art règne en moi, mais ne me gouverne pas »

DJ de l’image et de la matière, David Cintract se définit comme un artiste existentiel visuel et tactile.
Polysensoriel, il passe avec une aisance déconcertante des techniques traditionnelles de peinture aux technologies modernes telles que la digigraphie, la photographie, l’inclusion d’objets divers/de jouets…
Au travers de ses mannequins qu’il « dandyse », de ses Mutantoy’s et Candy‐Box, il fabrique de l’individualité dans le manufacturé, et dépose sa poésie dans les objets de séries.

Q : « Est‐ce qu’être artiste est une évidence pour toi » ?

L’art et la philosophie sont pour moi les meilleurs moyens d’esthétiser mon existence. Grâce à ces deux moyens d’expression et de réflexion, j’ai ainsi pu optimiser mon optimisme tragique et inverser la tendance névrotique générale des oeuvres contemporaines. Mon souhait est de traiter de sujets de société ou d’actualité plus ou moins graves, et d’en tenter une retranscription démocratique et positive. C’est pour moi une façon ludique de jouer avec les images et les objets futiles qui rappellent l’enfance, avec en filigrane le constat d’une obsession du rapport que nous avons avec une consommation frivole, nourrie par une publicité sans cesse renouvelée. Ce travail m’amène d’ailleurs à me demander si le bonheur ne se serait pas épuisé dans le plaisir de la consommation.

JENK – LAURENCE JENKELL

JENK – LAURENCE JENKELL

Laurence JENKELL  « JENK » Chevalier des Arts et des Lettres, est née en 1965 à BOURGES.

Délaissant rapidement l’académisme de ses premières œuvres, Laurence JENKELL s’épanouira dans un style plus contemporain aux couleurs et matières excessives. A la toile traditionnelle succède le plexiglas, les résines et l’aluminium, matières contemporaines, en harmonie avec l’environnement urbain qui inspire son art.

Métamorphose de la substance

Séduite par l’alchimie du sucre et les multiples combinaisons du BONBON, tant dans sa forme que dans ses possibilités de transformation, L. JENKELL décline la métamorphose de la substance, pour n’en garder que l’idée du sucre qui fond sur la toile.

Ses recherches s’inscrivent dans une déclinaison de créations aux couleurs acidulées, aux textures gourmandes et aux parfums sucrés. D’un simple coup d’œil, le spectateur se sent transporté par ce travail très personnel. Ses sens s’éveillent, son odorat, son goût, son toucher et ses souvenirs d’enfance ressurgissent, l’attirant tel une abeille par le miel.

L’objet se transforme en plaisir

L’œuvre de JENKELL est un phénomène de cristallisation à part entière, lente ascension vers l’étape ultime : le désir matérialisé dans l’objet. Le BONBON participe à la fois de cet instant subtil où l’objet se transforme en plaisir. La gourmandise devient ainsi sublimée, soit par une fonte d’aluminium au sable, soit par un emballage en altuglas qui donne toute sa dynamique à l’œuvre de JENKELL.

L’objet sublimé par l’objet : nouveau procédé élaboré par l’artiste visant à magnifier l’objet par une technique de drapé et de torsion du altuglas dans le pur esprit des emballages de friandises.

Un discours spécialiste dirait que sa sculpture bonbon est un geste radical issu du contenu sémantique du Pop Art et du Nouveau Réalisme. Un discours profane parlerait d’une gourmandise artistique qui délecte nos sens et qui par sa douceur évoquée permet de magnifier l’ensemble des sujets portés par ces bonbons.

Exposée dans le monde entier, Laurence Jenk Jenkell s’inspire maintenant d’un univers plus architectural. Le robot est un de ses nouveaux thèmes.

Le travail de Laurence Jenkell est représenté par de nombreuses galeries et collections privées, publiques et institutionnelles. Ses œuvres font partie des collections de François Pinault, Martin Bouygues, Françoise Bettencourt, les fondations (Fondation Datris, KNEIP, Chanel, Cristobal Gabarron, etc.) et musées tels que le musée des beaux-arts de Calais, le musée des Miniatures à Amsterdam, le Copelouzos Family Art Museum à Athènes.

G20 à Cannes

En 2011, Laurence Jenkell à l’occasion du G20 à Cannes, invente un concept d’expositions itinérantes de ses Bonbons géants aux couleurs des Drapeaux.

Elle expose 55 sculptures Bonbons, versions monumentales et Drapeaux alliant diversité des matières et haute technicité, pendant cinq mois, à Cannes sur la Croisette. Une haie d’honneur de ses sculptures Bonbons Drapeaux accueille les présidents pour le sommet du G20 à Cannes.

En 2012, Laurence Jenkell expose ses sculptures au Club France au Village Olympique lors des Jeux olympiques de Londres.

Elle expose ses sculptures bonbons géants avec la Fondation Gabarron à Valence (Espagne) et aussi dans la ville de Calais ainsi qu’au musée des beaux-arts de Calais, et à la Gallery Artam Global Art.

ALBEN

ALBEN

Alben, star en Amérique…Les honneurs du Wall Street Journal

Alben est un jeune artiste bordelais. Autodidacte, il exerce son activité d’artiste peintre dans un atelier situé au-dessus d’une boite de nuit sur les quais de Bordeaux (“fabrick”). Tombé dans l’art dès son plus jeune âge, Alben a été nourri par la multiplicité d’images, publicitaires et documentaires, qu’il érige en “mythologies contemporaines”.

Ces grandes toiles colorées s’inspirent directement de l’art de la rue et du graffiti, mais aussi du pop art américain et surtout d’Andy Warhol, qu’il admire par dessus tout. Icônes hollywoodiennes, rois, vieilles voitures, super-héros… En accumulant les images surtout tirées de l’iconographie pop des années 50 à aujourd’hui, Alben joue avec le kitsch, toujours avec subtilité. Cette symbolique, qui reste assez énigmatique, établit une relation intime et même spirituelle avec le spectateur.

En plus des peintures, réalisées surtout à la bombe et avec des pochoirs qu’il fabrique lui-même un à un, Alben présente aussi des sculptures originales. En remplissant ses bustes en résine avec des objets de la vie quotidienne, bonbons ou jouets d’enfants, Alben se remémore son enfance et souligne encore une fois une nostalgie latente, très présente dans son travail.

C’est simplement la façon d’être d’Alben, artiste autonome et indépendant. En effet, son art ne saurait souffrir d’aucune classification, d’aucune catégorisation spécifique, susceptible d’enfermer sa “maniera” dans un registre précis. Il s’oriente vers une retranscription de l’immédiateté contemporaine, en expérimentant et en inventant des techniques propres chargées de digérer des formes pour les ériger au rang d’icônes. Nous avons bien à faire à “un artisan concepteur” !

La seule vocation de son art, si toutefois il nous fallait en attribuer une, consiste en la retranscription d’une immédiateté brute. Le spectateur est, alors, transporté dans un univers spatio-temporel décalé. On touche ici la veine ironique de son œuvre. Conditionnés par une société où la quête de sens constitue un leitmotiv, nous nous retrouvons bousculés, pour ne pas dire démunis, face à cette livraison brute d’images qui, scénarisées et transformées au moyen de technique diverses, font éclater les poncifs traditionnels de l’art.

L’artiste a exposé tout autour de l’Europe et des Etats-Unis. Il a aussi crée des installations en France. Ses travaux font partie de collections publiques et privées à Paris, Dubai, Hong-Kong, Australie, Bordeaux, Londres, Zurich, Italie, Mexique, New York, San Diego et Chicago.

Avec la parution de l’une de ses œuvre dans le Wall Street Journal, et une troisième exposition dans Spring Street, Alben est plus connu à New-York qu’en France.

ABRAHAM

ABRAHAM

Françoise Abraham Sculpteur-Artiste.  Elle danse depuis l’âge de six ans, formée par les professeurs de l’Opéra de Paris, en danse classique.

Elle découvre très rapidement la danse contemporaine, elle sera interprète dans différentes compagnies : Redah, R.Chopinot, Ballet Jazz de Paris.

Elle sera à jamais marquée par la symbiose de la vie en mouvement.

La danseuse s’intéresse très vite aux costumes, elle invente ses vêtements. Mais sa curiosité la pousse à aller plus loin dans la recherche de la forme.

Elle glisse imperceptiblement du costume au décor puis se plonge dans la voie du design. Ses créations reconnues d’abord par les professionnels, obtiennent un important succès auprès du public.

Exigeante, rigoureuse, Françoise Abraham obtient des formes tendues pleines de sensualité.

Ses personnages féminins se propulsent dans l’espace avec vitesse et énergie. Et curieusement, bien qu’elle plaise à cultiver ses rondeurs, ses sculptures font preuve d’une stupéfiante légèreté.

Naturellement la résine en couleur, technique personnelle mise au point par Françoise, permet de la fantaisie et de laisser libre cours à son imaginaire débordant de fertilité.

Forte de ce nouveau champ de créativité, ces résines colorées teintées dans la masse sont uniques dans le marché de l’Art, avec un décor toujours original et un zeste de folie.

Françoise Abraham continue sa recherche permanente avec des accessoires qui viennent accompagner ses personnages et porter plus encore son expression d’une réflexion sur notre liberté.

Entre maitrise technique et créativité, Françoise Abraham sait préserver cette petite étincelle géniale qui donne à la vie un autre parfum.

Coprésidente de la section sculpture du Salon d’Automne de Paris jusqu’en 2008, Françoise expose en permanence dans des galeries et des expositions privées à Singapour, Paris, New York ou La Haye…

La forme dans l’espace avec fantaisie, exubérance, légèreté, rondeur et humour. Voilà en quelques mots la personnalité de son œuvre.

Françoise fait danser ses sculptures.

A la conquête de la Chine
… Aujourd’hui, Françoise Abraham sculpteur-artiste, se donne une nouvelle corde à son arc puisqu’elle a inauguré une sculpture monumentale de 5 mètres de haut, à Shenzhen en Chine, en plein centre ville devant un centre commercial de luxe.

Cette femme pressée, qui vient d’être installée à demeure, se nomme « FASHION LADY ». Ce projet a été rendu possible grâce à un promoteur immobilier, grand amateur d’art, qui a souhaité avoir cette « Fashion Lady » devant le Centre qu’il vient de construire…