ARCACHON - LE PYLA - CAP FERRET - MEGEVE - COURCHEVEL - SAINT TROPEZ - BIARRITZ

ALBEN

ALBEN

Alben, star en Amérique…Les honneurs du Wall Street Journal

Alben est un jeune artiste bordelais. Autodidacte, il exerce son activité d’artiste peintre dans un atelier situé au-dessus d’une boite de nuit sur les quais de Bordeaux (“fabrick”). Tombé dans l’art dès son plus jeune âge, Alben a été nourri par la multiplicité d’images, publicitaires et documentaires, qu’il érige en “mythologies contemporaines”.

Ces grandes toiles colorées s’inspirent directement de l’art de la rue et du graffiti, mais aussi du pop art américain et surtout d’Andy Warhol, qu’il admire par dessus tout. Icônes hollywoodiennes, rois, vieilles voitures, super-héros… En accumulant les images surtout tirées de l’iconographie pop des années 50 à aujourd’hui, Alben joue avec le kitsch, toujours avec subtilité. Cette symbolique, qui reste assez énigmatique, établit une relation intime et même spirituelle avec le spectateur.

En plus des peintures, réalisées surtout à la bombe et avec des pochoirs qu’il fabrique lui-même un à un, Alben présente aussi des sculptures originales. En remplissant ses bustes en résine avec des objets de la vie quotidienne, bonbons ou jouets d’enfants, Alben se remémore son enfance et souligne encore une fois une nostalgie latente, très présente dans son travail.

C’est simplement la façon d’être d’Alben, artiste autonome et indépendant. En effet, son art ne saurait souffrir d’aucune classification, d’aucune catégorisation spécifique, susceptible d’enfermer sa “maniera” dans un registre précis. Il s’oriente vers une retranscription de l’immédiateté contemporaine, en expérimentant et en inventant des techniques propres chargées de digérer des formes pour les ériger au rang d’icônes. Nous avons bien à faire à “un artisan concepteur” !

La seule vocation de son art, si toutefois il nous fallait en attribuer une, consiste en la retranscription d’une immédiateté brute. Le spectateur est, alors, transporté dans un univers spatio-temporel décalé. On touche ici la veine ironique de son œuvre. Conditionnés par une société où la quête de sens constitue un leitmotiv, nous nous retrouvons bousculés, pour ne pas dire démunis, face à cette livraison brute d’images qui, scénarisées et transformées au moyen de technique diverses, font éclater les poncifs traditionnels de l’art.

L’artiste a exposé tout autour de l’Europe et des Etats-Unis. Il a aussi crée des installations en France. Ses travaux font partie de collections publiques et privées à Paris, Dubai, Hong-Kong, Australie, Bordeaux, Londres, Zurich, Italie, Mexique, New York, San Diego et Chicago.

Avec la parution de l’une de ses œuvre dans le Wall Street Journal, et une troisième exposition dans Spring Street, Alben est plus connu à New-York qu’en France.

ABRAHAM

ABRAHAM

Françoise Abraham Sculpteur-Artiste.  Elle danse depuis l’âge de six ans, formée par les professeurs de l’Opéra de Paris, en danse classique.

Elle découvre très rapidement la danse contemporaine, elle sera interprète dans différentes compagnies : Redah, R.Chopinot, Ballet Jazz de Paris.

Elle sera à jamais marquée par la symbiose de la vie en mouvement.

La danseuse s’intéresse très vite aux costumes, elle invente ses vêtements. Mais sa curiosité la pousse à aller plus loin dans la recherche de la forme.

Elle glisse imperceptiblement du costume au décor puis se plonge dans la voie du design. Ses créations reconnues d’abord par les professionnels, obtiennent un important succès auprès du public.

Exigeante, rigoureuse, Françoise Abraham obtient des formes tendues pleines de sensualité.

Ses personnages féminins se propulsent dans l’espace avec vitesse et énergie. Et curieusement, bien qu’elle plaise à cultiver ses rondeurs, ses sculptures font preuve d’une stupéfiante légèreté.

Naturellement la résine en couleur, technique personnelle mise au point par Françoise, permet de la fantaisie et de laisser libre cours à son imaginaire débordant de fertilité.

Forte de ce nouveau champ de créativité, ces résines colorées teintées dans la masse sont uniques dans le marché de l’Art, avec un décor toujours original et un zeste de folie.

Françoise Abraham continue sa recherche permanente avec des accessoires qui viennent accompagner ses personnages et porter plus encore son expression d’une réflexion sur notre liberté.

Entre maitrise technique et créativité, Françoise Abraham sait préserver cette petite étincelle géniale qui donne à la vie un autre parfum.

Coprésidente de la section sculpture du Salon d’Automne de Paris jusqu’en 2008, Françoise expose en permanence dans des galeries et des expositions privées à Singapour, Paris, New York ou La Haye…

La forme dans l’espace avec fantaisie, exubérance, légèreté, rondeur et humour. Voilà en quelques mots la personnalité de son œuvre.

Françoise fait danser ses sculptures.

A la conquête de la Chine
… Aujourd’hui, Françoise Abraham sculpteur-artiste, se donne une nouvelle corde à son arc puisqu’elle a inauguré une sculpture monumentale de 5 mètres de haut, à Shenzhen en Chine, en plein centre ville devant un centre commercial de luxe.

Cette femme pressée, qui vient d’être installée à demeure, se nomme « FASHION LADY ». Ce projet a été rendu possible grâce à un promoteur immobilier, grand amateur d’art, qui a souhaité avoir cette « Fashion Lady » devant le Centre qu’il vient de construire…

YOUN

YOUN

Youn-Kyoung Cho dite YOUN née à Séoul, Corée du Sud en 1971, curieuse de nouveaux horizons, c’est à l’âge de 19 ans qu’elle décide de quitter sa famille et son pays natal pour l’Europe « terre des arts ».

Niçoise d’adoption, la sud-coréenne Youn Cho est l’une des figures les plus attachantes de la scène artistique azuréenne.
Avec ses « Girls », l’artiste incarne la dimension ludique de l’Ecole de Nice tout en préservant son identité coréenne et la culture manga. Elle s’inscrit, tout naturellement, dans le sillage des Ben, Arman, Sosno, Moya, Gilli et Chubac, tous ceux dont l’humour exige la participation joyeuse du public.

Les « Girls » de Youn expriment la joie de vivre. Véritables icônes, ces personnages fantasmatiques aux couleurs vives et contrastées reflètent l’expression de l’âme et des émotions enfantines universelles proches des mangas (grands yeux, traits mi-occidentaux, mi-orientaux, tenues…), elles portent les traces de la nostalgie d’un monde d’innocence, de non-conformisme et de spontanéité des émotions.

Telles les traces fantasmées d’un passé d’enfant ou d’adolescent devenu intemporel, ces sculptures s’imposent comme autant de défis au temps qui passe.

Diplômée avec brio de l’Ecole Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg, elle décide de s’installer à Nice en 1998. Très vite, ses « Girls », tour à tour joueuses, baigneuses, boudeuses et plongeuses, remportent un vif succès.

L’artiste a participé à une cinquantaine d’expositions en France et à l’étranger. Ses œuvres figurent dans des collections publiques et privées (dont celle de Norman Foster), en France, Monaco, Suisse, Italie, Allemagne, Suède, Jordanie, Maroc, Corée du Sud, USA…

Youn parait se jouer des difficultés et travaille des petites et monumentales pièces avec une dextérité qui laisse rêveur.

Ses femmes en terre cuite sont remarquables d’élégance et de raffinement, un réel bonheur esthétique.

En effet, chacun de ces visages représentent des humeurs, une facette du caractère de Youn Cho, d’où la multitude de visages et de postures des « girls ».

Ce sont en réalité les pièces d’un formidable puzzle intérieur. Les sculptures s’inspirent aussi de la lumière avec leurs socles.

STRATOS

STRATOS

C’est en 1953 que STRATOS vit le jour en AVIGNON, dans cette France choisie par son grand-père, GREC d’origine, tailleur de profession.

Dés l’âge de I4 ans il côtoie le monde artistique au sein d’un cabinet d’architecture, discipline à laquelle il se forme.

Il va prendre alors conscience de l’esthétisme du beau de la ligne et ainsi va se développer en lui cette fibre créatrice qui ne le quittera plus jamais.
C’est ainsi que va naitre le créateur de forme, l’assembleur de personnages jaillissant de son pinceau, avec ce rouge éclatant, ce jaune lumineux, ce bleu si profond et ces noirs qui vont cerner toutes ses silhouettes- mère enfant, couples, musiciens…..toutes source de vie, de cette vie si précieuse à partager, message altruiste de l’artiste qui va tout donner.

L’itinéraire va déboucher sur les sculptures, qui vont succéder aux peintures et venir se dresser dans son univers , monumentales et lisses, métalliques et caressantes, silhouettes enchevétrées qui se frôlent, se touchent, musiciens au violoncelle que l’on écoute que l’on entend et ces couples imbriqués,enlaçés avec leur tête intimement liée qui nous donnent à penser à réver, on écoute leur silence.

C’est STRATOS qui s’envole, tenons lui bien fort la main, envolons nous avec lui dans ce monde féerique de l’enfance, profitons de ce moment donné par l’artiste pour se plonger un instant dans ce monde de la quiétude sereine dans l’univers onirique de cette enfance qu’il nous faudra un jour quitter.

Puissions-nous la conserver, lui faire place dans notre coeur c’est cela le miracle de STRATOS, avec son univers de ciel étoilé multicolore et flamboyant avec tous ses personnages qui nous tendent leurs mains et puis ces ombres métalliques qui montent vers les nuages et nous enroulent délicatement….il se dégage de tout cela comme un parfum jubilatoire qui va nous rendre heureux vraiment heureux.

ARCACHON FRONT DE MER

EXPOSITION DES SCULPTURES MONUMENTALES DE CHARLES STRATOS ARCACHON 2015

LAGASSE

LAGASSE

Karl LAGASSE est né à Paris le 4 avril 1981, dans une famille d’artistes.

Adolescent, il rencontre l’artiste César, qui l’encourage à continuer son travail de collages. C’est à la même époque qu’il descend dans le métro exécuter des tags avec son frère adoptif, membre des Black Dragons.

L’urbain ne le quittera alors plus. Le découpage-collage devient une vraie passion pour lui. C’est lors de sa rencontre avec l’artiste Yvaral Vasarely, qui lui suggère d’associer ses collages et ses tags, qu’il prépare sa première exposition à Paris.

De ces tags et collages, il ira vers la peinture et la photographie. Il vend sa première toile à l’âge de 15 ans à Anvers.

Il obtient son premier article dans le magazine Paris-Match. Ensuite il retourne à Paris où il réalise sa seconde exposition personnelle de toiles buildings, collages et photos, à l’espace Cardin.

Aujourd’hui Karl Lagasse est photographe, peintre, vidéaste mais aussi sculpteur. Il expose en Europe, aux Etats-Unis et bientôt en Inde.

Le Dollar est aussi un symbole puissant de son admiration pour les Etats-Unis avec cette phrase qui l’orne: In God We Trust. Le même billet, série 1995, l’année où le dollar était à son plus haut taux, se décline dans des couleurs vives et des tailles différentes. Ces billets, contrairement à ce qu’on peut imaginer, ne se sont pas figés, ils se tordent et ondulent offrant des œuvres en mouvement.

Un article dans Art Price le classe dans les 10 meilleurs artistes de moins de 30 ans.

Ensuite, il expose à Saint-Germain-des-Prés, sur le thème du dollar “In God We Trust”.

Une publication à New York dans le livre “For with In stand” le classe les 50 meilleurs artistes travaillant sur le thème américain. Il part pour New York pour effectuer des signatures.

De retour en Normandie, il crée l’œuvre Cryptogram One en feuilles d’or et l’expose au salon Art Monaco 2011.